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L’ADIEU

From SEUL
Written by Didier Barbelivien

Quebec born singer Garou is a very popular performer whose big break came in 1997 with his appearance in the leading role of Quasimodo in the ultra-successful musical drama “Notre Dame Du Paris.” His performance won audiences all over the world as he sang the beautiful, heart-wrenching songs written for the musical by Luc Plamondon and Riccardo Cocciante. This triumph got him important awards like the Felix in Canada and the Victoire in France where he quickly became a true superstar. After “Notre Dame Du Paris” Garou started a recording career with the release of “Seul” at the dawn of the new millennium.
This album was overseen by the same team that brought Celine Dion to
her superstar status. It was created by one incredible group of writers/producers like his mentors Plamondon and Cocciante (that Garou resembles quite a bit vocally) plus stars of the recording studios like Walter Afanasieff, Bryan Adams, Humberto Gatica, Aldo Nova and David Foster. Foster worked on a magnificent ballad, “L’Adieu.” It was superbly produced and arranged with prominent use of acoustic piano, keyboards and strings. It sports one passionate and intense vocal performance by the singer. “Seul” is a perfectly crafted pop work. It includes many other high moments like the duet with Celine Dion on “Sous Le Vent” or more uptempo numbers like “Criminel” and “Gambler” that with the help of the legendary Jerry Hey horns show also some of Garou’s r&b roots. “Seul” was a big hit in the francophone countries reaching platinum status and selling like hotcakes. Garou has recently released a new self titled album that’s more good evidence of his impressive talent.


Listen

[audio:https://www.fozfan.com/archives/clips/l_adieu.mp3|titles=L’adieu|artists=Garou]


Lead Vocals: Garou
Keyboards: David Foster
Synthesizers Programming: Felipe Elgueta
Guitar: Dean Parks
Drums: John Robinson
String arrangements: Jeremy Lubbock
Production And Arrangements by David Foster


Lyrics

Adieu,
Aux arbres mouillés de septembre
À leur soleil de souvenir
À ces mots doux, à ces mots tendres
Que je t’ai entendu me dire
À la faveur d’un chemin creux
Ou d’une bougie allumée
Adieu à ce qui fut nous deux
À la passion du verbe aimer
L’adieu est une infinie diligence
Où les chevaux ont dû souffrir
Où les reflets de ton absence
Ont marqué l’ombre du plaisir
L’adieu est une lettre de toi
Que je garderai sur mon cœur
Une illusion de toi et moi
Une impression de vivre ailleurs
L’adieu n’est que vérité devant Dieu
Tout le reste est lettre à écrire
À ceux qui se sont dit adieu
Quand il fallait se retenir
Tu ne peux plus baisser les yeux
Devant le rouge des cheminées
Nous avons connu d’autres feux
Qui nous ont si bien consumés
L’adieu, c’est nos deux corps qui se séparent
Sur la rivière du temps qui passe
Je ne sais pas pour qui tu pars
Et tu ne sais pas qui m’embrasse
Nous n’aurons plus de jalousies
Ni de paroles qui font souffrir
Aussi fort qu’on s’était choisi
Est fort le moment de partir
Oh l’adieu !
L’adieu c’est le sanglot long des horloges
Et les trompettes de Waterloo
Dire à tous ceux qui s’interrogent
Que l’amour est tombé à l’eau
D’un bateau ivre de tristesse
Qui nous a rongé toi et moi
Les passagers sont en détresse
Et j’en connais deux qui se noient
Adieu,
Aux arbres mouillés de septembre
À leur soleil de souvenir
À ces mots doux, à ces mots tendres
Que je t’ai entendu me dire
À la faveur d’un chemin creux
Ou d’une bougie allumée
Adieu à ce qui fut nous deux
À la passion du verbe aimer
L’adieu c’est le loup blanc
Dans sa montagne
Et les chasseurs dans la vallée
Le soleil qui nous accompagne
Est une lune bête à pleurer
L’adieu ressemble à ces marées
Qui viendront tout ensevelir
Les marins avec les mariées
Le passé avec l’avenir
Oh l’adieu !
Oh l’adieu !